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En Russie, en 2002, avec nos deux filles adoptives |
Lorsqu'on évoque les Témoins de Jéhovah, le chrétien moyen pense
généralement à un groupe de personnes bien habillées, frappant à toutes les
portes du voisinage pour vendre des livres ou le magazine Watchtower. Pour ma
part, c'est plutôt à vingt-huit ans de servitude sous l'emprise de la secte que
je pense. Mon grand-père est devenu membre de la Watchtower Society au tout
début du XXe siècle. Mes parents demeurent des Témoins actifs ; mon père
préside même sa congrégation locale.
On m'a enseigné que les Témoins de Jéhovah sont les uniques détenteurs
de la vérité. C’est du quartier général de la Watchtower, à Brooklyn, New York,
que les cinq millions de fidèles sont
contrôlés. J'emploie à dessein le mot «contrôle », car les Témoins de Jéhovah
pensent que tout ce qui est écrit dans la Bible de Watchtower est d'essence
divine, et ne peut être contesté. Ils pensent que des anges insufflent régulièrement de la lumière
à leurs dirigeants, les aidant ainsi à interpréter la Bible. Ils sont persuadés
que le Watchtower est le seul agent de Dieu sur Terre. Par conséquent, ils
pensent qu'en dehors de Watchtower, l'humanité n'a plus d'espoir. Ils sont
persuadés qu'eux seuls sont dans le vrai, qu'ils sont les vrais chrétiens,
qu'ils seront seuls à connaître la Rédemption et que tous les autres seront
détruits par Jéhovah lors de la bataille d'Armageddon.
J'ai commencé à servir le Watchtower à plein temps en 1971, après
avoir interrompu mes études secondaires sur les conseils de nos dirigeants, qui
annonçaient la fin du monde pour 1975. À cette époque, des millions d'adeptes
ont encaissé leur police d'assurance vie, abandonné leur poste, et vendu leurs
biens pour passer « le peu de temps qui leur restait » à prêcher avant
l'échéance fatale. En tant que « pionnier », c'est-à-dire missionnaire de la
Watchtower, j'allais de porte en porte.
J'essayais de convaincre les gens de se plier à la volonté de Dieu en
devenant Témoin pour faire, peut-être, partie des élus sauvés. Je dis
«peut-être » parce que tous les Témoins de Jéhovah ne sont pas assurés de leur
Rédemption. Pour la Watchtower, le chemin de la Rédemption réside non pas dans
la grâce de Jésus-Christ, dont nous jouissons en proportion de notre foi en
Lui, mais dans les œuvres que chacun
doit accomplir.
Les démarchages en porte-à-porte permettent au Témoin de prouver sa
soumission à l'organisation, et sa capacité à exécuter les consignes qui lui
sont données. Sa fidélité à l'organisation le contraint à adhérer à des lois et
des règles que les Anciens appliquent avec beaucoup de zèle. Le moindre
manquement à ces lois conduit immanquablement à une série de châtiments
correspondant à la gravité de l'infraction. Les Anciens ont entre leurs mains
la capacité de supprimer le droit à la Rédemption, ou d'ordonner l’excommunication
du pécheur, par laquelle on l'isole de ses proches ; en bref, ils peuvent
infliger n'importe quelle peine qu'ils jugent adéquate et propice au repentir.
Les Témoins de Jéhovah doivent rendre compte avec beaucoup de soin de
leurs activités communautaires aux Anciens. Ceux-ci répertorient l'information
dans un dossier. Chaque Témoin est titulaire d'un dossier, où sont également
inscrits ses péchés graves. Toutes les informations ayant trait à la vie privée
des Témoins sont conservées à New York. Elles ne sont jamais détruites.
Ayant vécu toute mon existence dans cet environnement, je savais bien
ce qu'on attendait de moi. Je devais suivre les règles et obéir aux lois pour
faire partie des élus. Il n'a pas été bien difficile de m'acclimater à ce
travail à plein temps, car j'allais de porte en porte depuis ma plus tendre
enfance.
J'ai donc effectué ce travail pendant quelques années, sans en retirer
toutefois beaucoup de satisfaction. S'échiner, en cent heures mensuelles de
travail de représentant, à vendre un minimum de cent magazines et de quarante
livres, devenait bien vite décourageant. Ce travail était bénévole, je ne touchais
aucune rémunération. Tous les Témoins exercent une autre activité pour subvenir
à leurs besoins matériels.
En 1973, j'ai accepté de me rendre au quartier général de Brooklyn
pour faire partie du personnel - nombreux - qui rédige les publications de Watchtower.
Dans un courrier personnel qu'il m'a adressé, le président de la Watchtower
Society, Nathan H. Knorr, explique : «Vous allez suivre quatre années
d'entraînement théologique avancé, ce qui est bien plus enrichissant qu'une
éducation laïque courante.»
Plein d'espoir, je suis monté dans un avion à destination de New York.
À bord, je me suis remémoré les regards envieux de mes amis lorsque je leur ai
dit que j'allais vivre auprès de nos dirigeants, près du pouvoir. Mes amis ont
organisé en mon honneur des fêtes d'adieu, m'ont offert des cadeaux, rendant
hommage à mes parents pour leur mérite de m'avoir si bien éduqué au sein de la
communauté.

Après trois ans au quartier général, sans ressources, donc sans
autonomie (nous gagnions 14 dollars par mois), j'ai été confronté à la dure
réalité, contraint de gagner ma vie sans aucun bagage intellectuel ou
professionnel. En effet, on déconseille vivement aux Témoins de Jéhovah de
poursuivre un cursus universitaire.
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Pat et moi en 1976, en face du quartier général
de la Watchtower, qui fut mon lieu de
résidence pendant trois ans
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J'ai épousé une jeune fille, Témoin accompli elle-aussi ; nous avons
essayé de servir Dieu de notre mieux. C'est à dire que nous étions de bons
Témoins, respectueux des règles. Ma femme avait été missionnaire pendant huit
ans, envoyée par la direction du mouvement dans plusieurs régions de
l'Amérique.
De retour à la maison avec un dossier satisfaisant sur mes états de
service à New York, les Anciens locaux ont pris l'habitude de faire appel à moi
pour enseigner au pupitre. La plupart des Témoins s'accordent à dire que quiconque
a passé du temps à travailler au quartier général est digne d'assumer
d'importantes responsabilités au sein de la communauté.
Au fur et à mesure que je grimpais dans la hiérarchie locale, je fus amené
à participer à des opérations clandestines conduites par les Anciens. Arpenter
les rues en pleine nuit, épier les membres soupçonnés d'avoir dévié du droit
chemin... comme c'est grisant ! J'ai eu accès aux dossiers confidentiels qui
révélaient tous les secrets internes de la communauté. Après avoir été moi-même
contrôlé pendant mon séjour au quartier général, cette fois c'est moi qui épiais
les gens. Mais je n'en retirais aucun plaisir. Je ne me sentais pas en paix
avec moi-même. Je ne saurais décrire ce qu'il y a de déplaisant à servir un Dieu
considéré comme vengeur et hargneux. L'organisation dépeint toujours Jéhovah
comme un Dieu prêt à «déverser sa colère». Mais tout ce que je savais de Dieu,
c'était ce qu'en disait le Watchtower. Certes, nous lisions la Bible, mais on
nous disait bien que, si nous nous écartions des interprétations données par le
Watchtower, nous risquions de nous fourvoyer et de tomber dans l'erreur.
Un jour, un ami m'a donné un livre écrit par un ancien Témoin,
intitulé « J'ai été pendant trente
ans l'esclave de Watchtower ». Mon devoir en tant que Témoin
scrupuleux me dictait de le signaler à mes supérieurs, parce qu'on nous
interdisait de lire des ouvrages anti-Watchtower.
Mais j'ai lu le livre, comme un défi. Il m'a vraiment perturbé, car
l'auteur avait lui-même travaillé longtemps au quartier général et qu'il
m'était facile de m'identifier à lui. Les choses que j'avais tenté d'effacer de
ma mémoire refaisaient surface et je me suis surpris à remettre en question la
validité de l'autorité de Watchtower. L'auteur explique qu'il a trouvé la paix
en étudiant une Bible expurgée des commentaires de Watchtower.
Pendant tout ce temps, le Saint Esprit me commandait d'étudier la
parole de Dieu. Bien que nous possédions notre propre traduction de la Bible
(effectuée par la Watchtower Society et décriée par les érudits grecs et
hébraïsants), je me suis procuré une Bible standard américaine.
Ma femme et moi-même avons immédiatement commencé à la déchiffrer, en
pleine nuit. Nous nous sommes rendu compte qu'une grande partie des valeurs
pour lesquelles nous étions prêts à mourir semblaient subitement erronées. Je
fis part à mon père de mes découvertes. En sa qualité d'Ancien, il comprit que
je prenais un chemin d'opposition aux fondements des enseignements du
Watchtower, et il s'empressa de nous dénoncer auprès des autres Anciens. Ces
derniers furent chargés de nous juger pour apostasie.
Après une audience pénible, nous nous sommes publiquement repentis, et
on nous a autorisés à demeurer au sein de la communauté. Je fus, toutefois, déchargé
de toute responsabilité. Je devrais subir une période de probation avant de
pouvoir espérer reprendre mes fonctions.
J'ai dû quitter la ville, en raison d'une mutation professionnelle.
J'envisageais avec soulagement la perspective de m'intégrer dans une nouvelle
communauté et de prendre un nouveau départ. Mais mon enthousiasme est bien vite
retombé lorsque je me suis souvenu que ma défaillance momentanée figurait dans
mon dossier, et me poursuivrait toute ma vie, où que j'aille.
Dès que j'ai commencé à participer aux réunions, les Anciens ont pris
connaissance de mon dossier. Ils m'ont prévenu qu'ils me tiendraient à l'œil
pour s'assurer que je m'étais bien défait de mes idées subversives. Ils
ajoutèrent qu'ils m'excommunieraient si je faisais part de ces idées à d'autres
membres de la congrégation. J'ai juré fidélité à l'organisation, et j'ai promis
de ne lire ni relater aucune des positions opposées à celles de Watchtower au
sujet de la Bible.
Deux ans se sont écoulés. Le fait d'être constamment sur mes gardes
m'a épuisé. Rien, pas même mes enfants, dont la naissance m'avait comblé, ne me
semblait vraiment gratifiant. J'avais besoin d'autre chose, mais je ne savais
pas quoi. Souvent, ma femme et moi buvions un verre de trop, tous deux en quête
d'une forme de joie ou de plénitude. Il ne nous est resté de cela qu'une
sensation de vide.
Après que nous soient venus deux fils, nous désirions avoir une fille.
Nous espérions que sa naissance ramènerait la joie dans notre foyer. Quelle ne
fut pas notre bonheur lorsque, le 10 août 1980, Jenny Lee Blizard a vu le jour.
Mais une tragédie s'est aussitôt abattue sur nous. Au bout de cinq semaines,
les médecins se sont rendu compte que le sang de notre bébé ne coagulait pas.
Nos médecins nous ont conseillé de nous rendre à San Antonio, au
Texas, pour consulter des spécialistes. Nous avons donc emmené Jenny à la
maternité du centre médical Santa Rosa, dans l'espoir que son état pourrait
s'améliorer. Mais pourquoi saignait-elle intérieurement ? Pourquoi son sang ne
coagulait-il pas normalement ? Les médecins se sont longuement penchés sur son
cas et, pendant des jours entiers, ils ont recherché une explication.
Finalement, l'équipe de docteurs a conclu que Jenny ne serait sauvée
que si elle subissait, au plus vite, une transfusion sanguine. Nous étions
confrontés à un dilemme : La Watchtower ne permet pas l'usage de sang, sous
quelque forme que ce soit. Les Témoins de Jéhovah portent en permanence sur eux
une carte stipulant qu'ils refusent catégoriquement une transfusion sanguine,
fût-ce au prix de leur vie.
Nous avons alors demandé aux médecins de quitter la pièce en leur
expliquant que nous allions nous concerter avant de leur donner une réponse.
Mon épouse et moi avons prié. Nous avons imploré le Seigneur de nous fournir
des réponses. Je me souviens encore de ce que je pensais : « Ô Jéhovah, comment peux-tu me demander de
prendre une telle décision ? Comment peux-tu mettre entre mes mains la vie de
Jenny ? Quel genre de Dieu es-tu ? »
Puis, nous avons rappelé les médecins, et nous leur avons expliqué
qu'il fallait nous soumettre à la volonté de Dieu, et laisser mourir Jenny.
Les autorités de l'hôpital ont alors contacté le département des
Droits de l'enfance du Texas, et une plainte a été déposée contre nous pour
négligence et mauvais traitements infligés à un enfant. Le shérif nous a fait
convoquer devant la justice et a interdit au personnel hospitalier de nous
laisser partir avec Jenny. Il savait que les Témoins de Jéhovah ont la
réputation d'enlever subrepticement leurs coreligionnaires menacés d'une
transfusion.
En fait, ma femme et moi étions secrètement soulagés : Jenny allait
pouvoir bénéficier d'un sang neuf. J'avais fait tout ce qui était en mon
pouvoir pour éviter cette transfusion, avant de savoir que les tribunaux
allaient s'emparer de l'affaire. Ma fidélité à l'organisation n'était donc pas
en cause.
Mais l'histoire s'est ébruitée : deux journalistes ont divulgué ce qui
s'était passé au grand public. Avec du recul, je ne peux que rendre hommage à
leur travail.
L'affaire prenait de l'importance. Certains de nos amis alertèrent les
Anciens, qui accoururent au chevet de Jenny. Ils étaient ravis de savoir qu'il
leur restait du temps pour préparer une opération d'évacuation avant la
transfusion. Je leur ai expliqué que je ne maîtrisais plus la situation, que
j'étais sous le coup de la loi. Peu leur importait. Leur seul souci était de la
faire sortir de l'hôpital.
Je savais que Jenny succomberait si je débranchais les machines qui la
maintenaient en vie. Je pourrais être accusé de meurtre. Les Anciens m'ont
répondu : « C'est un risque que tu dois courir ! Tu ne peux pas leur permettre
de donner du sang à ton enfant ! »
Je ne voulais pas prolonger cette discussion. Je leur ai demandé de
quitter les lieux, en leur disant que je ne pouvais laisser mourir quiconque
dans des conditions pareilles : « Si c'est ce Dieu-là que je sers, eh
bien, je ne veux plus en entendre parler.»
Les Anciens sont repartis, furieux de n'avoir pas réussi à me faire
plier. « J'espère que ce sang lui transmettra une hépatite ; tu sauras ainsi
que cette substance est réellement souillée ! » ajouta l'un d'entre eux.
Lorsque nous sommes rentrés chez nous, nous nous sommes rendus compte
qu'ils s'étaient passés le mot : nous sommes devenus des parias aux yeux des
Témoins, mais nous ne pouvions être excommuniés, disposition ne pouvant
s'appliquer qu'à des personnes ayant donné leur accord explicite pour une
transfusion.
C'est à ce moment précis que Dieu a fait sentir sa présence. Des
Chrétiens nous ont rendu visite, nous apportant régulièrement de la nourriture
et de l'argent, cherchant constamment à nous aider. Le témoignage de ces gens
nous a profondément marqués. Nous nous sommes remis alors à une étude approfondie
de la Bible. Ces mois d'études intenses et secrètes nous ont amenés à
comprendre que nous avions vécu dans le mensonge. Nous avions été les esclaves
d'un système qui imposait une lecture réductrice de la Bible. L'esprit n'était
pas libre. En relisant les textes originaux, j'y trouvais des réponses limpides
sur tous les points doctrinaux, sur tous les dogmes qui me posaient un
problème. C'en était fini de ces études biaisées par un magazine ou un livre.
Je lis la Bible par moi-même à présent.
Au terme de cette étude, j'ai compris que la Rédemption était un don
de Notre Seigneur Jésus-Christ. J'ai compris que Dieu n'est qu'Amour pour les
hommes, et qu'il ne s'exprime pas par la vengeance.
Une nuit, ma femme et moi avons joint nos mains et voué nos vies à
Jésus-Christ. Soudain, nous avons senti que nos esprits s'élevaient, et cette
élévation générait liberté et Rédemption. C'était une nouvelle naissance. Je
n'avais rien éprouvé de tel au cours des milliers d'heures pendant lesquelles
je m'efforçais de plaire à Dieu en tant que Témoin de Jéhovah. Nous avons su
que nous avions changés. Nous étions une création nouvelle. Comme le dit
l'Évangile selon Jean : « Et vous saurez que vous avez obtenu la vie éternelle.
»
Nous avons été rapidement désavoués par les Témoins de Jéhovah. Les
règles de l'excommunication nous interdisent d'avoir des rapports avec notre
famille ou nos anciens amis. Nos propres parents n'auront pas le droit
d'assister à nos funérailles. D'après la loi édictée par Watchtower, nous
sommes morts à leurs yeux. Les Témoins de Jéhovah n'ont pas le droit de nous
adresser la parole, sous peine d'excommunication.
Pour conclure, je peux affirmer que nous ne sommes pas morts !
Bien loin de là, nous sommes parfaitement vivants. Certes, nous avons enterré
nos anciennes coutumes, mais nous vivons à présent dans le royaume du Christ,
emplis de Son Saint Esprit et de Son pouvoir, sauvés par le sang de l'Agneau.
Jenny n'a pu être sauvée. Sa santé exigeait bien plus qu'une simple
transfusion sanguine. Les transfusions qu'elle a subies ont prolongé son
existence mais, le 3 mars 1987, elle a quitté ce monde pour rejoindre Notre
Seigneur.
Sur la pierre tombale de Jenny, nous avons fait graver «l'envoyée
particulière de Dieu». Nous sommes persuadés qu'elle était sa messagère. C'est
au long de sa courte vie que nous avons pris conscience des mensonges proférés
par la Watchtower, et que nous avons accepté Jésus-Christ comme unique Sauveur
et Seigneur.
De plus, pendant les derniers jours de la vie de Jenny, au centre
médical pour enfants de Dallas, ma femme et moi avons consacré une grande
partie de notre temps à prier et à réconforter des familles dont les enfants
étaient également sur le point de mourir.
Certains détails concernant les funérailles de Jenny attestent encore
davantage du contrôle que la Watchtower exerce sur ses membres. De nombreuses
personnes s’étaient déplacées spécialement pour partager notre douleur. L’Église
était remplie. Les seuls sièges inoccupés étaient ceux réservés à nos deux
familles. Les responsables de la Watchtower leur ont formellement interdit
d'assister à la cérémonie.
En tout état de cause, nous continuons à prier pour que ceux qui sont
encore esclaves de cette secte se réveillent et se libèrent de leurs chaînes
grâce à Jésus-Christ.
Sans coeur, sans amour...
RépondreSupprimerInterprétations arbitraires...
Aucune remise en cause de ses mensonges...
La Watchtower a beau se prétendre une religion, les faits parlent d'eux mêmes...
A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres. (Jean 13, 34-35)
RépondreSupprimerOu est l'amour ? le 'notre père' (Mat 6) dit pourtant "Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés". Et Mat 5:23-24 "Si donc tu apportes ton offrande à l'autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, Laisse là ton offrande devant l'autel, et va-t'en premièrement te réconcilier avec ton frère; et après cela viens, et présente ton offrande." Le culte de ceux qui manifestent si peu de compassion peut-il être agréer par Dieu ?
Un seul texte me monte au cœur à la lecture de tant d'intransigeance : " Père pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font " (Luc 23,34)